Éteindre ou réduire l’éclairage public au milieu de la nuit lorsque celui-ci ne présente peu ou pas d’utilité est une action simple à mettre en œuvre que les communes engagées dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la biodiversité ont adopté depuis bien longtemps.
Voir les exemples suivants :
- Mérindol : Dès 2010 la commune de Mérindol a commencé à rénover son éclairage public (passage aux LED) et mis en place l’extinction en milieu de nuit dans certains secteurs de la commune. Voir : Économiser l’éclairage public : l’exemple de Mérindol
- Laragne : « avec des programmateurs électriques à quelques centaines d’Euros et un éclairage éteint partiellement pendant la nuit, la commune a économisé 35000 Euros » Voir Article
Aujourd’hui ces démarches de bon sens ne répondent pas seulement aux enjeux environnementaux de préservation de la planète. L’extinction de l’éclairage public aux heures où il est peu utile devient un impératif budgétaire et financier pour les communes qui n’ont pas encore pris conscience des enjeux énergétiques.
Voir ci-dessous les articles du Régional sur ce qui se fait à Aurons (extinction de l’éclairage public) et à Grans (rénovation de 1300 lampadaires)
Deux suggestions très simples à mettre en œuvre dès demain à Mallemort :
- Expérimenter l’extinction totale ou partielle de l’éclairage en milieu de nuit en commençant par les secteurs les plus énergivores (Avenue Charles De Gaulle)
- Le sur-éclairage éblouissant de la place Raoul Coustet et de l’avenue Charles De Gaulle est totalement inutile , il est même extrêmement gênant pour les automobilistes. Pour économiser, il suffit d’enlever les ampoules d’un lampadaire sur deux ou sur trois. Il restera bien assez de lumière pour les piétons !
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