« Il faut habiter poétiquement la terre »
Cette phrase du poète allemand Friedich Hölderlin résonne d’une façon toute particulière dans le cadre des réflexions actuelles sur l’urbanisme et le devenir du territoire communal .
Face aux pressions diverses, l’impératif poétique sera-t-il une voie pour préserver, notre cadre de vie, nos paysages, notre vie ?
Que penserons de nous les générations futures si nous ne nous préoccupons pas aujourd’hui d’habiter poétiquement le territoire que nous leur laisserons?
TP
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